À la découverte de Québec

Fondée il y a plus de 400 ans et couvrant près de 500 kilomètres carrés, la ville de Québec est le berceau de l’Amérique du Nord française. Son cœur est constitué de six voisinages uniques, entourés par les fortifications vénérables du Vieux-Québec et le fleuve Saint-Laurent.

Ce sont ces voisinages que nous allons explorer pendant une fin de semaine, en compagnie de notre guide locale, l’artiste et actrice québécoise Valérie Carrier. Nous avons l’intention de découvrir les meilleures boutiques et les meilleurs restaurants durables tout en profitant des paysages et de l’ambiance propres à chaque quartier. Le VÉ Mazda MX-30 est le meilleur moyen de les parcourir discrètement : Valérie met le VUS de taille moyenne tout électrique en mode Drive et se mêle en silence aux habitants et aux touristes pour une fin de semaine de découverte…

Valérie commence par le quartier le plus connu, qui est aussi son préféré, le Vieux-Québec, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. « Le mieux est d’arriver à l’aube, en fin de semaine, avant que tous les bus de touristes n’encombrent les rues. On a alors, pour soi, un panorama incroyable sur le fleuve Saint-Laurent, au lever du soleil, c’est vraiment merveilleux. »

Valérie remonte le temps à travers des rues désertes et passe silencieusement sous un grand pont de pierre des remparts, jusqu’à l’imposant Château Frontenac perché sur le Cap Diamant. « J’aime l’histoire et l’architecture, mais je viens surtout pour les artistes du Petit Champlain, qui font tout à la main avec amour, et on ne sait jamais quels trésors on va dénicher. »

Dans les ruelles étroites du Vieux-Québec, Valérie apprécie la caméra de stationnement à 360 degrés du MX‑30. « C’est un atout précieux pour se glisser dans les petits espaces. J’apprécie qu’elle m’apporte une aide, mais que je garde le contrôle, comme si elle m’apprenait à mieux conduire. » Pendant un instant, Valérie est presque seule alors qu’elle se promène paisiblement le long de la Terrasse Dufferin, d’habitude très animée, en respirant l’air vif de l’aube, auréolé du soleil levant.

Saint-Roch est également l’un des quartiers préférés de Valérie. « Il est authentique et il y a une grande diversité parmi ses résidents », explique-t‑elle. C’est peut-être moins sophistiqué et plus moderne que le reste de la ville, mais c’est avec du cran que vient l’esprit d’entreprise.

L’apiculteur urbain Frédéric Dutil est le cofondateur d’Apikol. Cette entreprise a des ruches et une fabrique qui distille divers alcools de miel, notamment de l’hydromel mousseux, une vodka florale et une eau-de-vie douce, grâce à plus de 200 000 abeilles. C’est un modèle de durabilité et Frédéric explique à Valérie que son objectif est de sensibiliser le public à l’importance des pollinisateurs.

Regarder les abeilles s’affairer donne soif. Heureusement, Saint-Roch est connu pour sa vie nocturne. Après s’être garée en toute sécurité pour la soirée, Valérie prend un verre à La Barberie, une coopérative de brasseurs très appréciée, avant de s’aventurer dans le festival de la rue Saint-Joseph. C’est aussi un moment agréable pour observer l’extérieur élégant et minimaliste du VÉ MX‑30, qui suscite des regards admiratifs. Des stands de produits gastronomiques et des bars à cocktails éphémères jalonnent les trottoirs, tandis qu’un orchestre entraînant joue sur les marches de l’église Saint-Roch. Valérie déambule dans la nuit en dégustant des chocolats d’artisanat tout en discutant avec d’autres artistes.

Le lendemain, Valérie retourne en ville. Quartier bohème et coloré, Saint-Jean-Baptiste est bordé par le Vieux-Québec et Montcalm. Le moteur électrique e-Skyactiv ne fait pas de bruit quand Valérie glisse dans ses rues animées avant de se garer en face de la superbe Épicerie Européenne.

Elle commande un espresso bien serré et un petit gâteau à la pistache, puis s’assoit à la terrasse de l’élégant bâtiment Art déco pour observer les passants. Revigorée par la caféine, Valérie entre dans la boutique pour parcourir ses rayonnages et y trouver des délices italiens – pâtes, pesto et charcuterie. Elle charge le VÉ MX‑30 de trésors savoureux pour le souper, une tâche facilitée par les portes à ouverture inversées du Mazda.

Puis, Valérie se dirige vers Saint-Sauveur (surnommé Saint-Sô par ses habitants) un quartier qui regorge de pâtisseries parfumées et de boutiques sympas. Après avoir parcouru plusieurs fois la rue Saint-Vallier Ouest pour s’imprégner des lieux, Valérie trouve une place devant la Boulangerie Louis Marchand et rejoint les riverains qui font patiemment la queue dans la rue.

À l’intérieur, des boulangers maculés de farine vont et viennent avec des plateaux de pâtisseries encore chaudes du four. Valérie choisit une brioche à l’érable piquée de raisins secs et remplit sa tasse à café isolée au liège pour un minimum de déchets. Les porte-gobelets flottants de la console du VÉ MX‑30 sont également en liège durable, ce qui, avec les revêtements intérieurs à base de plastique recyclé et de similicuir végétalien, souligne l’engagement de Mazda envers l’environnement.

Saint-Sauveur est une mine de magasins indépendants typiques et Valérie est impatiente de découvrir Lucia F Vintage. « Les vêtements plus anciens sont souvent d’une meilleure facture et c’est la façon la plus durable et la plus créative de magasiner, dit-elle. Ici, chaque article est unique. » Quelques magasins vintages plus tard, il est clair que l’achat n’est pas nécessairement l’objet de l’exercice pour Valérie : « Je trouve cela vraiment stimulant de voir tous les imprimés et les matériaux, cela me remplit d’inspiration », dit-elle.

Sur la belle Place d’Youvillle, le théâtre Le Diamant et le Palais Montcalm hébergent la compagnie de théâtre Ex Machina du célèbre metteur en scène Robert LePage. Les sereines statues en bronze des Muses, qui représentent chacune une discipline différente – musique, art oratoire, poésie, architecture, sculpture et peinture – veillent sur la place.

En passant, une bande de skateurs se reflète dans la peinture élégante du VÉ MX‑30. Valérie attend patiemment, émerveillée par le contraste entre l’ancien et le moderne. « Ce que j’aime dans cette ville, c’est cette diversité de population et d’idées. »

Sur le chemin du retour, Valérie fait un dernier arrêt dans son magasin de recharge préféré. La Récolte est un régal pour les sens, avec ses bacs de fruits secs exotiques, ses savons d’artisanat aux parfums divins et ses distributeurs de grains de café, exemples de la philosophie « zéro déchet » des lieux. Valérie remplit ses récipients de nouvelles friandises, dont une huile d’olive riche et des grains de café torréfiés, avant de mettre le cap sur sa dernière étape, Limoilou.

Le dimanche, Valérie aime se rendre à Limoilou. Avec ses grands quartiers résidentiels et ses élégants parcs verdoyants, on a l’impression d’être dans une autre ville, mais on n’oublie jamais qu’on est à Québec. Même les rues de banlieue les plus modestes sont agrémentées de tourelles rutilantes et d’escaliers en fer en spirale qui rappellent l’héritage de l’ancien monde.

En négociant un enchaînement de virages en S jonchés de feuilles, Valérie est impressionnée par les performances de la voiture. « Je dois sans cesse me rappeler que c’est un véhicule électrique. La sensation n’est pas vraiment différente de celle d’un moteur à essence, dit-elle. Et je n’éprouve aucune culpabilité puisque, le moteur ne tournant pas à l’arrêt, je ne pollue pas la ville. »

Valérie recharge le VÉ MX‑30 à une borne du Grand Marché de Québec, un marché couvert contemporain qui accueille une centaine de producteurs locaux. Dans toutes les directions, on voit des paniers de prunes rouges dodues et des produits frais. Valérie prépare un pique-nique composé de fromage traditionnel, de pain rustique et de raisins bordeaux avant de conduire le VÉ MX‑30, maintenant complètement chargé, jusqu’au parc Cartier-Brébeuf pour savourer le fruit de son travail.

Texte Jenni Doggett

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Style contemporain, élégance facile

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